Le cadeau parfait pour les fêtes

Alors que le temps des Fêtes approche à grands pas.

Nous nous demandons quel est le cadeau idéal à offrir aux personnes que nous côtoyons et que nous aimons. Comme les cadeaux en disent long sur nous, simplement y réfléchir peut s’avérer amusant et à la fois embêtant. Les questions importantes à se demander: Pourquoi offrons-t-on un cadeau?  Est-ce la bonne manière de prouver à la personne qu’elle est importante pour nous? Le cadeau devient-il une obligation sociale? Quel est le but visé par un cadeau? Quel impact aura ce cadeau pour la personne?  Toutes les réponses sont importantes. Par ce cadeau, l’impact produit aura-t-il comme effet une meilleure valorisation de la personne?  Le cadeau « parfait » existe-t-il et quel prix je suis prêt à payer?

La personne qui reçoit un tel cadeau, c’est comme recevoir une camionnette remplie de lingots d’or avec peu de frais pour vous.

Le ** FABULEUX CADEAU**  tant convoité à donner et à recevoir est la Rétroaction Stimulante Positive (RSP)

Une RSP consiste à prendre le temps pour se concentrer et réfléchir aux comportements positifs que cette personne (mari, femme, enfant, sœur, frère, ami, collègue, etc.) a démontré tout au long de l’année et qui a eu un impact énorme sur le bien-être de votre équipe, de votre famille, de votre organisation ou même de votre communauté.

À ne pas confondre une *Rétroaction sur le vif* avec une RSP.

La *Rétroaction sur le vif* est essentielle et, au contraire, elle devrait être faite en tout temps.  Les gens ont besoin de recevoir une réaction positive et constructive ou une franchise radicale, dès que vous êtes témoin d’un comportement qui nécessite une intervention.

Donner une RSP n’est pas facile, direz-vous? Oh que non!…

**Pour ce faire, il me faudra beaucoup de préparation, de temps dans mon horaire chargé et de concentration sur les comportements positifs manifestés durant l’année. C’est trop compliqué et je suis trop occupé à ce temps-ci de l’année. Je vais opter pour un cadeau traditionnel: une bouteille de vin, une boîte de chocolats ou un lunch au resto avec une carte de souhaits accompagnant mon cadeau.**

…**C’est décidé, mon cadeau idéal à offrir est une boîte de Chocolats Belges Godiva.**

Recevoir un assortiment de chocolats belges, c’est irrésistible. Déguster le premier morceau, c’est divin. Le deuxième et le troisième morceau, c’est raisonnable et vous le méritez bien. Passer au travers de la boîte, c’est un plaisir gourmand.

Les cadeaux en disent long sur nous… Un cadeau qui se consomme aura-t-il un impact positif et durable?

Ou encore mieux, si j’offrais le FABULEUX CADEAU, une RSP qui vient du plus profond de son cœur. C’est un cadeau personnalisé qu’une personne saura apprécier.  Se soucier de la personne que nous aimons, qui refuserait une rétroaction franche et sincère?

Cette émotion exaltante que vous ressentirez devrait être addictive et vous donnera certainement envie de répéter l’expérience. Comment donne-t-on une RSP?

  1. Prenez du temps pour réfléchir à ce que vous avez observé
  2. Notez un ou deux comportements notables remarqués et que la personne devrait continuer à démontrer
  3. Préparez et pratiquez votre prestation
  4. Au moment de partager votre Rétroaction Stimulante Positive, soyez authentique et honnête, laissez parler votre cœur

Lorsque vous lui aurez partagé votre RSP:

  • Remerciez-le (la) d’être une personne exceptionnelle
  • Dites-lui combien vous tenez à lui (à elle)

Alors, que pensez-vous de ce simple cadeau des Fêtes? Peu dispendieux, durable, distingué, gratifiant et qui fait un grand bien à donner et à recevoir.Aussi, joindre une boîte de Chocolats Belges Godiva serait grandement appréciée.  Vous serez le premier à y goûter.

Joyeuses Fêtes!

Je vous fais confiance – Je ne vous fais pas confiance.

 

Combien de fois au cours de notre vie avons-nous entendu les déclarations : « Je vous fais confiance » ou « Je ne vous fais pas confiance »? Ces énoncés sont tellement puissants qu’un des deux pourrait réellement donner un élan à quelqu’un tandis que l’autre risquerait de détruire la confiance et l’estime de soi d’une personne. Pouvez-vous deviner quel énoncé est lequel?

Lorsque vous dîtes à quelqu’un que vous leur faites confiance, prenez-vous un moment pour vous demander sur quoi se base votre confiance? Quelles sont les actions posées par cette personne qui vous incitent à lui faire confiance? Au contraire, lorsque vous dites à quelqu’un que vous ne lui faites pas confiance, vous demandez-vous ce qui, chez cette personne, fait que vous ne lui faites pas confiance?

Beaucoup d’individus ne prennent pas le temps de réfléchir sur ce sujet. Au lieu de cela, ils prennent la voie la plus facile et disent simplement : « Je vous fais confiance » ou « Je ne vous fais pas confiance ». Si nous ne prenons pas le temps de comprendre vraiment ce qu’est la confiance, nous risquons tout bonnement de perdre de bons employés. Voici l’histoire d’un individu que j’ai eu le privilège de coacher.

Pour des raisons de confidentialité, nous l’appellerons Mark.

Mark était un cadre et travaillait pour un cabinet de services financiers de premier plan. Il œuvrait pour cette entreprise depuis plus de 10 ans. Il y était très apprécié par tous et même vu comme potentiellement le prochain PDG. Un jour, le gestionnaire de Mark lui a donné un projet important. Comme toujours, c’est avec une attitude positive que Mark s’est lancé dans le projet et a travaillé dur pour le compléter à temps. En travaillant sur ce projet, Mark a jugé qu’il avait besoin de s’isoler pour vraiment rester concentré, et c’est ce qu’il a fait. Une fois le projet terminé, il appela son gestionnaire pour l’informer que c’était fini. Le responsable de Mark étant très heureux, il l’invita à imprimer quelques exemplaires et à le présenter à la prochaine réunion du conseil d’administration.

Le jour où le monde a changé pour Mark

Mark et son chef sont arrivés dans la salle de réunion. Tous les membres du conseil étaient présents et chacun recevait une copie de la présentation. Tout semblait vraiment bien. Tout allait bien jusqu’à ce qu’ils se rendent compte que les informations financières sur les diapositives étaient incorrectes. Le gestionnaire de Mark était furieux, mais il a retenu ses émotions et ses commentaires jusqu’à ce qu’ils soient seuls. Une fois la réunion ajournée, il a pris Mark à l’écart et lui a dit sa façon de penser. Qu’est-ce qu’il a dit à Mark? « C’est inacceptable et je ne peux plus te faire confiance! »

Prenons quelques instants et parlons de Mark. Mark a travaillé pour cette entreprise depuis plus de 10 ans. Il était apprécié par tous et était considéré comme un acteur clé. Mais quelques secondes ont suffi pour que l’univers de Mark s’effondre. Après cet instant, Mark a complètement perdu confiance et a commencé à se remettre en question. Il s’est mis à penser : « Peut-être que je ne suis pas si intelligent, peut-être que je ne suis pas fait pour être cadre ». Cette remise en question était si pénible pour lui qu’il a démissionné.

Répondez à cette question : qui a le plus perdu dans cette situation? Tout le monde!

L’entreprise pour laquelle il travaillait a été perdante parce que son employé clé a quitté. Quant à Mark, lui aussi a perdu parce qu’il aimait vraiment travailler pour cette firme.

Comment éviter de se retrouver devant cette même situation?

Pour éviter de faire face à cette situation, vous devez comprendre les quatre éléments qui composent la confiance.

Le premier élément de la confiance est la compétence. Lorsque vous rencontrez une situation difficile ou complexe avec un partenaire commercial ou un membre de l’équipe, posez-vous la question suivante :

• Est-ce que je crois que cette personne possède les compétences requises pour accomplir la tâche?

Dans le cas de Mark, il ne s’agissait pas d’une question de compétence parce que son gestionnaire savait que Mark était parfaitement compétent pour faire le travail.

Le second élément de la confiance est la fiabilité. Pour évaluer la fiabilité de quelqu’un, posez-vous ces questions :

• Puis-je faire confiance à cette personne pour prendre la tâche au sérieux?
• Puis-je faire confiance à cette personne pour faire ce qu’elle a dit qu’elle ferait?
• Puis-je faire confiance à cette personne pour effectuer le travail?

Dans la situation de Mark, ce n’était pas une question de fiabilité, car son chef savait que le travail serait fait à temps.

Le troisième élément de la confiance est l’intention. Pour comprendre l’intention de quelqu’un, posez-vous ces questions :

• Est-ce que j’ai une notion claire des motivations de cette personne?
• Est-ce que j’ai confiance en ses intentions?

Dans la situation de Mark, ce n’était pas une question d’intention parce que son gestionnaire connaissait bien Mark et savait qu’il avait pris son travail et ses tâches à cœur.

Le dernier élément de confiance est l’ouverture-qualité de la communication. Pour évaluer ce dernier élément, posez-vous ces questions :

• Est-ce que je pense que cette personne essaie de me tenir au courant de ce qu’il fait?
• Est-ce que je pense qu’il est ouvert et honnête avec moi?

Dans la situation de Mark, cet élément était au cœur des interrogations de son gestionnaire. Ce dernier était choqué parce qu’il a jugé que Mark aurait dû faire quelques vérifications ponctuelles avec lui pendant qu’il complétait sa présentation, peut-être qu’il aurait pu détecter l’erreur. Il a également estimé que si Mark ne s’était pas isolé, mais s’il avait plutôt demandé des commentaires tout en travaillant sur son projet, des erreurs auraient pu être évitées.

Alors, qu’a fait le gestionnaire de Mark?

Il a dit ce qu’il n’aurait pas dû dire : « Je ne vous fais pas confiance! »

Si l’on nous donnait la possibilité de revenir dans le temps, avec ces nouvelles connaissances sur la confiance, comment le gestionnaire de Mark devrait-il gérer cette situation?

D’abord, il devrait faire comprendre à Mark qu’il a totalement confiance en ses compétences, sa fiabilité et ses intentions. En lui disant cela, il s’assure que Mark ait une meilleure estime de soi après cet événement dévastateur. C’est important, car Mark est considéré comme un employé clé, et les employés clés font des erreurs. Une chose est sûre, nous ne voulons pas perdre un employé de premier plan.

Deuxièmement, il devrait mentionner à Mark que l’élément qu’il remet en question est son ouverture et la qualité de sa communication. Son gestionnaire doit être bien préparé avec des questions et des observations concrètes pour résoudre ce problème.

Et c’est ainsi qu’il devrait le gérer. Faire en sorte que Mark se sente important et lui donner une rétroaction positive pour l’aider à s’améliorer.

Alors, au lieu de détruire la confiance et l’estime de soi de quelqu’un, prenez le temps d’apprendre vraiment ces quatre éléments de la confiance et de rendre vos conversations de coaching vraiment constructives.

Arrêter-Réfléchir-Planifier-Passer à l’action

L’univers d’un chef d’entreprise et d’un directeur des ventes semble souvent être beaucoup plus rapide que celui de la personne normale. Avec autant d’échéances et de responsabilités, prendre le temps d’arrêter et de réfléchir est souvent perçu comme une tâche impossible. La réalité est que vous devez vous arrêter. Vous devez prendre le temps de réfléchir. Votre temps de réflexion vous aidera à planifier, et la planification vous aidera vraisemblablement à passer à l’action. J’entends souvent les chefs d’entreprise et les professionnels de la vente dire qu’ils bougent toujours et agissent, mais la véritable question est de savoir s’ils posent toujours des actions sur les tâches les plus importantes pour leur succès ?

 

Comme le disait le grand entraîneur John Wooden : «Soyez rapide, mais ne vous dépêchez pas.» Si dans le monde d’aujourd’hui vous n’êtes pas rapide, vous êtes fichu. Si vous vous dépêchez, les choses sont mal faites ou pas du tout.

 

Il arrive donc un moment où il faut s’arrêter.  Comment est-il possible d’arrêter?  Pour quelle raison et pour quoi est-ce que je devrais arrêter? Sur quoi devrais-je réfléchir? Je comprends que ce n’est pas facile.  En tant que chef d’entreprise et professionnel des ventes, vous gérez souvent de nombreuses facettes de l’organisation.  Toutefois, si vous souhaitez réussir, vous devez programmer chaque semaine du temps pour Arrêter-Réfléchir-Planifier et ensuite Passer à l’action. Au début, pour ceux qui n’ont jamais fait ça, prévoyez 15 minutes à votre agenda. Si ce n’est pas inscrit dans votre calendrier, il est fort probable que vous ne le ferez pas. Il est également très important d’éteindre votre téléphone cellulaire, votre tablette ou tout appareil susceptible de compromettre votre réflexion pendant ces 15 minutes. Je recommande toujours de commencer avec quelques minutes toutes les semaines, puis d’augmenter lentement le temps de réflexion pour atteindre au moins une heure par semaine. Et pour tous ceux qui ont envie de sauter les étapes et de programmer une heure par semaine … ne le faites pas! Rappelez-vous les conseils sages de John Wooden: «Soyez rapide, mais ne vous dépêchez pas».

 

Pour vous guider avec les sujets pendant ce temps de réflexion, voici trois domaines importants sur lesquels un dirigeant d’entreprise, et un professionnel de la vente doit s’arrêter et réfléchir :

  • Leadership
  • Sens des affaires
  • Compétences en vente et processus de vente

 

Nous savons tous que le succès ou l’effondrement de notre organisation et directement lié au leadership.  Voici donc quelques questions sur lesquelles vous devriez réfléchir :

  • Que devrait-il arriver, d’ici 12 mois, pour que nous soyons heureux de notre succès ou de notre progrès?
  • Qu’est-ce que je fais pour investir dans la croissance de mon leadership personnel et la croissance de mes employés?
  • Notre vision est-elle claire? (Est-ce que tout le monde sait où nous allons, pourquoi nous existons et connaît les principes qui guident nos décisions et nos actions?)
  • Comment les autres me perçoivent-ils en tant que leader?

 

Le sens des affaires est aussi très important.  Comprendre comment votre entreprise gagne de l’argent est essentiel à l’exécution efficace de la stratégie. L’évaluation de votre offre des produits et des services que vous fournissez doit être revue régulièrement. Voici donc quelques questions sur lesquelles vous devriez réfléchir :

  • Si nous étions nos concurrents, que ferions-nous pour nous battre?
  • Quelle est la stratégie commerciale la plus importante dont nous devons aborder cette année ?
  • Quels sont les plus grands défis que nous observons dans notre industrie?
  • Nos budgets et nos objectifs sont-ils atteints ?

 

En tant que leader et professionnel des ventes de votre organisation, vous vendez certainement quelque chose, avoir un processus de vente optimal est donc la clé de votre croissance. Voici donc quelques questions sur lesquelles vous devriez réfléchir :

  • Notre processus de vente est-il clair et utilisé par l’ensemble de l’équipe de vente ?
  • Quels secteurs du processus de vente doivent être abordés avec notre équipe de vente?
  • Avons-nous un modèle de rétroaction formel et clair pour responsabiliser les gens?
  • Notre outil de gestion de la relation client (GRC) est-il utilisé efficacement?

 

Prendre du temps pour passer en revue ces questions est essentiel. Une fois que vous aurez identifié les secteurs qui doivent être abordés, vous devez vous poser les questions suivantes :

  • Jusqu’à quel point est-il important pour notre organisation et notre équipe de remédier à ce(s) problème(s)
  • Quelles connaissances ou outils avons-nous besoin pour résoudre ce(s) problème(s)?
  • Ce problème, ou ces problèmes doivent-ils trouver une solution rapidement ou non?

 

Il arrive souvent que l’on se retrouve dans une situation où nous ne savons pas vers qui se tourner pour obtenir de l’aide. Si vous éprouvez des difficultés pour trouver une personne ou une entreprise qui pourrait vous aider, communiquez avec nous. Chez L2L Coaching, notre équipe de partenaires stratégiques pourra certainement vous aider et vous guider.